Partenaires

CNRS
IN2P3
Sorbonne Universite
Universite de Paris
Initiative Physique des Infinis
UPMC


Rechercher

Sur ce site


Accueil > Thèses, Stages, Formation et Enseignement > Propositions de thèses antérieures > Propositions de thèses 2017 > Etude des propriétés temporelles des noyaux actifs de galaxie aux très hautes énergies avec l’expérience H.E.S.S. et perspectives pour CTA

Etude des propriétés temporelles des noyaux actifs de galaxie aux très hautes énergies avec l’expérience H.E.S.S. et perspectives pour CTA

Equipe thématique « Nature et origine du Rayonnement Cosmique de Hautes Energies » ; expérience : HESS / CTA

Directeur de thèse : Julien Bolmont

tél : 01 44 27 48 18

e-mail : bolmont lpnhe.in2p3.fr

Co-encadrant : Jean-Philippe Lenain

tél : 01 44 27 39 14

e-mail : jlenain lpnhe.in2p3.fr

Titre : Etude des propriétés temporelles des noyaux actifs de galaxie aux très hautes énergies avec l’expérience H.E.S.S. et perspectives pour CTA

Les noyaux actifs de galaxie (NAG) émettent un rayonnement à haute énergie dans l’environnement de leur trou noir massif central, vraisemblablement à la base de leurs jets relativistes. Ces objets sont éminemment variables, et l’étude de cette propriété nous renseigne sur le mécanisme précis d’émission à l’œuvre et sur la localisation du rayonnement au sein de ces sources. De plus, la variabilité observée aux plus hautes énergies permet également de poser des contraintes sur une éventuelle violation de l’invariance de Lorentz, invoquée dans certains modèles de gravité quantique.

L’expérience internationale H.E.S.S. (High Energy Stereoscopic System) est constitué d’un réseau de 5 télescopes situé en Namibie, et permet d’explorer le cosmos aux très hautes énergies (E>100 GeV), comprenant entre autres des observations de ces NAG. Notre groupe est très activement impliqué dans ce projet, à travers la recherche indirecte de matière noire, la recherche de la violation de l’invariance de Lorentz, ou l’étude astrophysique de sources extragalactiques comme les NAG. Son successeur, CTA (Cherenkov Telescope Array), sera constitué de deux réseaux, un par hémisphère, de 20 à 100 télescopes chacun. CTA permettra une étude plus approfondie des sources aux très hautes énergies par rapport aux instruments actuels comme H.E.S.S., avec une gamme en énergie couverte plus large et une meilleure sensibilité.

Une participation active à l’analyse des résultats de H.E.S.S. est attendue, avec un intérêt spécifique sur la recherche et l’interprétation d’activités variables dans les NAG. De plus, ces résultats seront combinés à ceux de Fermi, qui explore le ciel dans une gamme d’énergie voisine à H.E.S.S. et dont les données sont disponibles à la communauté, permettant ainsi de couvrir près de six ordres de grandeur en énergie. L’étude portera également sur les perspectives offertes avec le futur observatoire CTA, via des simulations d’observations de sources transitoires, et éventuellement l’implémentation de la réponse du réseau CTA en cas d’alertes internes ou externes et l’analyse en ligne associée.

Lieu de travail : LPNHE - Paris

Déplacements éventuels : shift d’observation en Namibie, réunions de collaboration H.E.S.S. et CTA, réunions de groupes de travail de H.E.S.S. et CTA, conférences.

Documentation :

Contact :

Ecole doctorale de rattachement :
Ecole doctorale Sciences de la Terre et de l’Environnement et Physique
de l’Univers

Lien sur les offres de thèse et candidature :
http://ed560.ipgp.fr/index.php/Offres_de_th%C3%A8se

Facebook

Dans la même rubrique :

Enregistrer au format PDF